La mer qu’on voit danser le long des golfes clairs
A des reflets d’argent, la mer
Des reflets changeants sous la pluie
La mer au ciel d’été confond ses blancs moutons
Avec les anges si purs, la mer
Bergère d’azur infinie
Voyez près des étangs ces grands roseaux mouillés
Voyez ces oiseaux blancs et ces maisons rouillées
La mer les a bercé le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour, la mer
A bercé mon coeur pour la vie
La mer qu’on voit danser le long des golfes clairs
A des reflets d’argent, la mer
Des reflets changeants sous la pluie
La mer au ciel d’été confond ses blancs moutons
Avec les anges si purs, la mer
Bergère d’azur infinie
Voyez près des étangs ces grands roseaux mouillés
Voyez ces oiseaux blancs et ces maisons rouillées
La mer les a bercé le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour, la mer
A bercé mon coeur pour la vie
5 commentaires
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2 août 2010 à 21:40
latrace
Trenet, c’est un moment sucré…j’aime beaucoup la tendresse que dégage ses textes!
6 août 2010 à 09:03
Désirée
J’ai un doute affreux: ce texte est vraiment de lui?
6 août 2010 à 18:19
Langda
Eh bien je ne connais pas Trénet si bien que ça, mais je sais – d’après un article du blog de latrace ici présente – qu’il savait non seulement chanter mais aussi (plutôt bien) écrire, et tous les sites trouvés qui présentent cette chanson disent que ces paroles sont de lui ! En espérant avoir mis fin aux doutes qui te taraudent 🙂
10 août 2010 à 11:38
Désirée
Merci! 😉
10 août 2010 à 11:40
Désirée
Du même bonhomme j’aime beaucoup « Nationale 7 » qui m’évoque invariablement les congés payés, les premières vacances de « masse », les voyage en « deux-pattes » ou « quatre ailes ». Et surtout j’habite la vallée du Rhône 🙂