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15 commentaires
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17 novembre 2010 à 15:48
Yano
Ah bon…le vin…
Qu’en pensent les alcooliques anonymes?
19 novembre 2010 à 21:37
Langda
Je ne sais pas si Khayyâm était alcoolique, mais on peut interpréter l’idée du vin de diverses manières…
Le vin est un liquide qui coule, et ce flot serait le flux du monde, ses saisons, des métamorphoses de la nature…
Ou alors, si l’hypocrisie est du côté de la dualité (cela paraît logique), on dit que le vin rend sincère : il révèlerait alors l’unité des hypocrites…
Ou alors, on peut ne pas interpréter et prendre les termes à la lettre : c’est quand on est ivre qu’on peut percevoir l’unité…
Ou alors…
Ou…
…
20 novembre 2010 à 01:36
Yano
Belle réponse Langda
Dans ma tête, je continue seule tes hypothèses…
Merci, car je ne l’avais vraiment pas lu comme ça…
Probablement car je n’en bois jamais……!
19 novembre 2010 à 21:51
Kajan
l’ivresse,
je suis tombé dedans quand j’étais petit…
et je n’en sors que rarement…
ça se sent bien dans la profondeur de mon propos, non?
en fait Khayyâm évoque le chouchen… entre nectar et ambroisie
20 novembre 2010 à 22:52
Langda
Et oui, comme Obélisque, pas besoin de potion magique pour être ivre ! C’est moins cher et moins mauvais pour la santé !
23 novembre 2010 à 09:39
Désirée
Le vin permettrait l’unité parce qu’il déshinibe?
C’est aussi une façon de voir.
C’est vrai j’avoue que la première fois que j’ai lu les quatrains de Khayyâm j’ai été perturbée par son rappel incessant du vin. Il semblerait que comme Dimay il était porté sur la bouteille, alors je ne sais pas trop. Si ça se trouve nous cherchons des finesses là où il n’y a que délire de poivrot 😉
23 novembre 2010 à 12:31
Yano
C’est également mon sentiment.
C’est d’ailleurs la raison pour la quelle j’ai abandonné la lecture de son oeuvre au bout de quelques pages.
23 novembre 2010 à 21:17
Langda
Je comprends tout à fait que la récurrence des images du vin puisse lasser. Mais ce n’est pas parce qu’on est alcoolique, qu’on dit forcément des bêtises : les alcooliques anonymes se sentiraient discriminés !
Khayyâm n’était pas non plus un rigolo, il était mathématicien, astronome, philosophe…
Par ailleurs, ce quatrain ne parle pas que de vin, et c’était surtout le reste qui m’intéressait !
23 novembre 2010 à 20:59
Kajan
trop épicurien pour notre époque… O tempora O mores… je retourne me saouler!
23 novembre 2010 à 22:16
Kajan
belle leçon de diplomatie cher Langda… Moi je ne vois vraiment pas le rapport entre Khayyâm et l’alcoolisme! Vive l’ivresse sous toutes ses formes!
24 novembre 2010 à 15:22
Langda
Tout à fait d’accord, ce n’est pas non plus parce que K. parlait beaucoup de vin, qu’il en buvait autant. C’était peut-être juste une image (de l’ivresse sous toutes ses formes p. ex.). Il y a aussi des poètes qui ne parlent que de fleurs : sont-ils botanistes pour autant ?
24 novembre 2010 à 16:22
Kajan
pistil t’entendre… et ta mine n’en sera que plus réjouie
27 novembre 2010 à 12:26
Luestan Theel
Quel sursaut soudain dans l’aire !
Tahnit règne.
Que le sang éclate dans mes veines !
Je bois en Tahnit
Je m’abreuve de Tahnit
Ma bouteille dans le soleil
Je bois à la bouteille
Face au vent
Dans l’aire
Une liqueur noire froide et pure.
Je bois au cœur de Tahnit
Je mords et je martèle son cœur de feu
Mais Tahnit éclate de rire
Dans mes veines
Et moi je saute et rit Tahnit.
28 novembre 2010 à 18:57
Langda
Bonjour Luestan, ça faisait un bail !
J’aime bien ton texte ; c’est de toi je suppose ?
Je serais quand même curieux de savoir qui est ce Tahnit… En tout cas, il a l’air plutôt sympa, pour boire un p’tit coup…
A plus
27 novembre 2010 à 14:08
Désirée
Je disais que je n’ai rien contre les alcooliques. Et que par exemple j’ai beaucoup de tendresse pour Bernard Dimay qui l’était, et qui était pourtant un merveilleux poète. Les poètes et la bibine c’est une longue histoire je crois. Et quelle importance.
Je reconnais que je me suis laissée désarçonnée par ce rappel incessant du vin chez Khayyâm, et qu’à la lumière de ta réflexion je m’en vais le relire avec un oeil plus attentif et un esprit plus disponible. Je me dis également que je m’attendais peut-être aussi à trouver une oeuvre ressemblant à celle de Khalil Gibran dont j’adore le Prophète. Ceci explique sans doute cela, on a parfois de curieuses connections.
Bon week end Ad 🙂