4 juillet 2010 in Valéry | Tags: écriture, femme, littérature, mythologie, nature, poésie, sensualisme, sylphe, XXe
Ni vu ni connu
Je suis le parfum
Vivant et défunt
Dans le vent venu!
Ni vu ni connu,
Hasard ou génie?
A peine venu
La tâche est finie!
Ni lu ni compris?
Aux meilleurs esprits
Que d’erreurs promises!
Ni vu ni connu,
Le temps d’un sein nu
Entre deux chemises!
 | FRAPET dans Jésus était un hippie ant… |
 | Phimis dans Kim & Alison Mcmillen… |
 | Langda dans Fernando Pessoa, Bureau de Tab… |
 | Solange dans Fernando Pessoa, Bureau de Tab… |
| Langda dans Keith Barnes (1934-1969)… |
Peu m'importe.
Peu m'importe quoi ? Je ne sais
pas ; peu m'importe.
Fernando PessoaSans savoir pourquoi
j'aime ce monde
où nous venons mourir___
Natsume Sôseki
Unproductive Poetry
5 commentaires
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4 juillet 2010 à 12:21
arbrealettres
Amusant ce texte, c’est léger et virevoltant lol! ((-:
Merci pour le lien photo vers mon blog mais je ne sais pas qui en est l’auteur malheureusement … ((-:
10 juillet 2010 à 20:43
Désirée
Et bien les garçons, c’est Gilbert Garcin allez voir là http://www.gilbert-garcin.com/ C’est un photographe facétieux et plutôt génial que j’aime beaucoup :))
Bonne découverte!
13 juillet 2010 à 08:35
Langda
Merci Désirée ! Je n’ai pas eu le temps de tout regarder, mais ce que j’ai vu de lui m’a bien plu
Bonne journée :-))
15 juillet 2010 à 16:59
Désirée
Il est complètement atypique, un artiste qui semble beaucoup s’amuser en plus! 🙂
7 mars 2014 à 16:44
Cochonfucius
Vieux sylphe
————–
Un vieux sylphe a bu
Un litre de vin,
Un rêve divin
Lui est advenu.
Un vieux sylphe a lu
Hier soir, du latin ;
Il n’a, ce matin,
Pas tout retenu.
Il n’a rien compris,
Il a dans l’esprit
Beaucoup d’autres choses :
L’oiseau revenu
D’un monde inconnu,
Et l’odeur des roses.